Il faut partir du principe qu’un trauma est une forme d’arrêt sur image. Le cerveau a en quelque sorte enregistré un programme de survie suite au choc traumatique (Stress post-Traumatique) ayant des répercussions mentales (cauchemars, ruminations, flashbacks, arrêt sur image…), émotionnelles (hyperémotivité, réactions émotionnelles disproportionnées, bouffées d’angoisse…), et physiques (le corps a gardé les “empreintes” de l’évènement traumatique, somatisations, douleurs, hypervigilance sensorielle, sueurs froides, vertiges, palpitations, tachycardies…)
La thérapie par EMDR/DMS a été développée principalement pour le traitement du syndrome de stress post-traumatique (80% de réussite)
Elle est la seule, avec les thérapies comportementales et cognitives, dont l’usage est officiellement recommandé pour le traitement de l’état de stress post traumatique par la Haute Autorité de la Santé (HAS, juin 2007) et l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS, juin 2014).